Les traditions ont la vie dure... Nos prédécesseurs à Cureghem
dimanche 5 juin 2005
jeudi 7 avril 2005
Fourmi de Feu
Tahiti, encore un bel exemple des echanges d'ecosystèmes :
Une petite fourmi très piquante et dangeureuse pour les animaux, envahit notre pays depuis semble-t-il 10 ans. Une opération de mobilisation du public est en cours, relevés, photos...
Un site d'information plublic est en ligne :
http://www.pff-tahiti.be/
Pour les actifs un groupe de diffusion et de centralisation des alertes
http://groups.yahoo.com/group/fourmifeutahiti/
Les anciens de la lutte pour l'environnement sont toujours là, fidèles au poste, espérant que le Taui soit réellement le changement promis. Espérons le aussi.
Mais ça bouge, c'est l'essentiel.
Une petite fourmi très piquante et dangeureuse pour les animaux, envahit notre pays depuis semble-t-il 10 ans. Une opération de mobilisation du public est en cours, relevés, photos...
Un site d'information plublic est en ligne :
http://www.pff-tahiti.be/
Pour les actifs un groupe de diffusion et de centralisation des alertes
http://groups.yahoo.com/group/fourmifeutahiti/
Les anciens de la lutte pour l'environnement sont toujours là, fidèles au poste, espérant que le Taui soit réellement le changement promis. Espérons le aussi.
Mais ça bouge, c'est l'essentiel.
mardi 5 avril 2005
Rappel pour la route....
Puisque les dauphins sont des rois
Seul le silence s'impose
Puisqu'il revient à qui de droit
De tenter les métamorphoses
Puisque les révolutions
Se font maintenant à la maison
Et que lorsque le monde implose
Ce n'est qu'une nouvelle émission, émission
REFRAIN:
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Puisque ce n'est plus qu'un système
Et sa police américaine
De monde meilleur on ne parle plus
Tout juste sauver celui là, celui là
REFRAIN:
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
De nous jeter à l'eau
Puisque je suis mon aquarium
Moi le poison, moi le poisson
Changé en homme
REFRAIN
Oh temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Eh
CHOEURS:
Beau temps pour se jeter à l'eau
Beau temps pour se jeter à l'eau...
Seul le silence s'impose
Puisqu'il revient à qui de droit
De tenter les métamorphoses
Puisque les révolutions
Se font maintenant à la maison
Et que lorsque le monde implose
Ce n'est qu'une nouvelle émission, émission
REFRAIN:
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Puisque ce n'est plus qu'un système
Et sa police américaine
De monde meilleur on ne parle plus
Tout juste sauver celui là, celui là
REFRAIN:
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau, oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
De nous jeter à l'eau
Puisque je suis mon aquarium
Moi le poison, moi le poisson
Changé en homme
REFRAIN
Oh temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De prendre le souffle nouveau
Il est temps à nouveau
Oh temps à nouveau
De nous jeter à l'eau
Eh
CHOEURS:
Beau temps pour se jeter à l'eau
Beau temps pour se jeter à l'eau...
Oh temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
Temps à nouveau
De nous jeter à l'eau...
Vivre, grandir et sa révolte
Vivre sa vie d'étudiant, un défi plutot facile et si complexe, toujours à cette période d'examen ou tout s'exacerbe. C'est alors que les grandes crises font surface, le désir de changer les choses et de faire sa révolution.
Je suis éffaré, aujourd'hui j'ai l'impression que l'acte moderne de resistance c'est d'aller voir un film de Moore ou autre Documentaire sur l'etat de la planète. D'en revenir pleins de désillusion et se dire que nous vivront dans un monde meilleur.
Mon corps tout entier est las de cette violence visuelle, parce qu'elle n'incite pas plus que cela à l'action, même restreinte : Fermer les lumières, ne pas chauffer et surconsommer inutilement... Cela ne deveint au bout du compte qu'une some de violence télévisuelle qui devient de plus en plus "normale".
Depuis quelques temps déjà j'ai pris mon engagement, la resistance citoyenne. Je sais ça à l'air marrant, mais je veux rester fidèle à un principe générale de cohérence avec mon environnement, humain et matériel. Ne pas justifier et laisser passer l'injustice et le gaspillage, autant que l'on peut.
Je suis éffaré, aujourd'hui j'ai l'impression que l'acte moderne de resistance c'est d'aller voir un film de Moore ou autre Documentaire sur l'etat de la planète. D'en revenir pleins de désillusion et se dire que nous vivront dans un monde meilleur.
Mon corps tout entier est las de cette violence visuelle, parce qu'elle n'incite pas plus que cela à l'action, même restreinte : Fermer les lumières, ne pas chauffer et surconsommer inutilement... Cela ne deveint au bout du compte qu'une some de violence télévisuelle qui devient de plus en plus "normale".
Depuis quelques temps déjà j'ai pris mon engagement, la resistance citoyenne. Je sais ça à l'air marrant, mais je veux rester fidèle à un principe générale de cohérence avec mon environnement, humain et matériel. Ne pas justifier et laisser passer l'injustice et le gaspillage, autant que l'on peut.
lundi 4 avril 2005
vendredi 1 avril 2005
Muse sur la meuse
La soirée est déjà avancée, la Meuse continue de verser son comptant de liquide,
Impressionnant exemple de perpetualité, cette eau sans arret deversée,
J'ai beau la regarder, jamais elle n'est identique à elle meme, toujours renouvellée;
Toujours différente et pourtant, elle semble dans son lit encore timide...
Il est encore des éléments que nous ne savons controler parfaitement,
C'est parfois rassurant, presque indispensable, comme un garde-fou,
"Les éléments sont indomptables!" semble-je entendre doucement,
Qui parle? serais-ce la nuit ? Peut-etre mon esprit buccolique après tout...
Je sens sa présence dans mon cerveau, et pourtant, elle semble inssaisissable,
Comme vaporeuse, comme volante au dessus de mon corps, comme invisible,
Serais-tu celle que mes maitres ont appelés par le nom de ces déesses?
Serais tu cette présence inspiratrice, serais tu ma Muse?
Que me confis-tu ce soir? le parfum de la journée écoulée?
Peut-etre as tu rencontré des amoureux, victimes d'un de tes freres agile...
Touchés en plein coeur par une aveuglante fleche mais néanmoins intangible
Ou alors cherche-tu à delier les amats de pensées de mon esprit agité?
Tu es étrange, belle mais invisible, intelligente mais inaudible
Enfin tranquille et vertueuse mais déchainant les plus violentes passions...
Pourquoi viens-tu, pourquoi veux tu que j'ecrive ces sensations,
Sans cesse soufflées par cet univers en mouvement perpetuel...
Impressionnant exemple de perpetualité, cette eau sans arret deversée,
J'ai beau la regarder, jamais elle n'est identique à elle meme, toujours renouvellée;
Toujours différente et pourtant, elle semble dans son lit encore timide...
Il est encore des éléments que nous ne savons controler parfaitement,
C'est parfois rassurant, presque indispensable, comme un garde-fou,
"Les éléments sont indomptables!" semble-je entendre doucement,
Qui parle? serais-ce la nuit ? Peut-etre mon esprit buccolique après tout...
Je sens sa présence dans mon cerveau, et pourtant, elle semble inssaisissable,
Comme vaporeuse, comme volante au dessus de mon corps, comme invisible,
Serais-tu celle que mes maitres ont appelés par le nom de ces déesses?
Serais tu cette présence inspiratrice, serais tu ma Muse?
Que me confis-tu ce soir? le parfum de la journée écoulée?
Peut-etre as tu rencontré des amoureux, victimes d'un de tes freres agile...
Touchés en plein coeur par une aveuglante fleche mais néanmoins intangible
Ou alors cherche-tu à delier les amats de pensées de mon esprit agité?
Tu es étrange, belle mais invisible, intelligente mais inaudible
Enfin tranquille et vertueuse mais déchainant les plus violentes passions...
Pourquoi viens-tu, pourquoi veux tu que j'ecrive ces sensations,
Sans cesse soufflées par cet univers en mouvement perpetuel...
mardi 29 mars 2005
Enseignement de qualité?
Il est dernièrement un sujet qui m'a fortement frappé et me ronge parfois l'esprit à la recherche de solutions éventuelles. En université les professeurs ne sont pas ou peu (en France et en Belgique) amené à apprendre à enseigner. Parfois pire, ils se savent mauvais mais passe le plus clair de leur temps dans leur recherches.
N'est ce pas oublier que l'histoire avance avec la multitude?
En effet, même si ce bon chercheur trouvait l'idée du siècle, si même ses étudiants n'y goute rien, comment donner plus envie au monde? Pourquoi les professeurs chercheurs nous parlent si peu de leur travail?
Probablement parce que les charges de cours sont trop importantes. Mais alors penchons nous sur cette question : Quel interet y a t'il à donner 100 heures de cours en 60? Certainement pas celui de l'étudiant. Car en effet, ces cours fleuves lassent les étudiants et ne restent en rien dans leurs mémoires à long terme; et puis c'est insupportable à étudier.
Quelles possibilités?
Je sais que l'on pourrais sanctionner les professeurs, mais ce serait le meilleur processus pour destabiliser une autorité rendue faiblarde par leur cours désuets, fleuves ou mal donnés. Alors que faire? Ici à Liège la situation pléthorique n'arrange pas la sauce bien sur, mais entre nous, il est clair que ça excuse bien des choses.
Le tableau noir? j'ai l'impression que le sacro-saint powerpoint a gagné... En effet, on le retrouve dans toutes les "recettes" à bon ou mauvais essient. Mais a t-on rendu capable d'enseigner de telles tribu de faignants que pas un seul ne puisse avoir le courage de prendre un craie? En effet, le diaporama informatique a de vrais vertues s'il est utilisé avec une envie d'enseigner. En effet, l'interet d'un diaporama informatique est de passer des films, photos, animations... MULTIMEDIA!!!! Passer du texte non stop sur un diaporama c'est : chiant, anesthésiant, fatiguant, lourd....
Alors bougeons ce corps (gras) enseignant et mettons lui de vrais défis. Aujourd'hui beaucoup sont capable d'ouvrir Google pour trouver une information... Ne soyez pas de simples bibliothèques
N'est ce pas oublier que l'histoire avance avec la multitude?
En effet, même si ce bon chercheur trouvait l'idée du siècle, si même ses étudiants n'y goute rien, comment donner plus envie au monde? Pourquoi les professeurs chercheurs nous parlent si peu de leur travail?
Probablement parce que les charges de cours sont trop importantes. Mais alors penchons nous sur cette question : Quel interet y a t'il à donner 100 heures de cours en 60? Certainement pas celui de l'étudiant. Car en effet, ces cours fleuves lassent les étudiants et ne restent en rien dans leurs mémoires à long terme; et puis c'est insupportable à étudier.
Quelles possibilités?
Je sais que l'on pourrais sanctionner les professeurs, mais ce serait le meilleur processus pour destabiliser une autorité rendue faiblarde par leur cours désuets, fleuves ou mal donnés. Alors que faire? Ici à Liège la situation pléthorique n'arrange pas la sauce bien sur, mais entre nous, il est clair que ça excuse bien des choses.
Le tableau noir? j'ai l'impression que le sacro-saint powerpoint a gagné... En effet, on le retrouve dans toutes les "recettes" à bon ou mauvais essient. Mais a t-on rendu capable d'enseigner de telles tribu de faignants que pas un seul ne puisse avoir le courage de prendre un craie? En effet, le diaporama informatique a de vrais vertues s'il est utilisé avec une envie d'enseigner. En effet, l'interet d'un diaporama informatique est de passer des films, photos, animations... MULTIMEDIA!!!! Passer du texte non stop sur un diaporama c'est : chiant, anesthésiant, fatiguant, lourd....
Alors bougeons ce corps (gras) enseignant et mettons lui de vrais défis. Aujourd'hui beaucoup sont capable d'ouvrir Google pour trouver une information... Ne soyez pas de simples bibliothèques
dimanche 6 mars 2005
mercredi 16 février 2005
Enfin...
Le peuple a parlé de nouveau... Avec une participation record, ce qui signifie que les gens voulaient vraiment un changement.
Maintenant attendons de voir ce que ce nouveau tournant de l'histoire polynésienne apportera.
Wait and see...
Maintenant attendons de voir ce que ce nouveau tournant de l'histoire polynésienne apportera.
Wait and see...
mercredi 9 février 2005
mardi 8 février 2005
Elections en Polynésie Française...
C'est fou ce que les revues de presse sont amusantes:
Nous sommes en pleines périodes d'elections à quelques jours de l'echéance et voilà ce que l'on peut lire dans l'actualité politique:
C'est quand même génial, on a au pouvoir central, non seulement des mères nourisses garantes de la sécurité financière de ces pauvres petits polynésiens en proie à la damnation éternelle de la VRAIE autonomie, mais également des "Madames Soleil" qui prévoient l'avenir avec une perspicacité qui j'espère semblera louche si les prédictions sont vérifiées...
Je pleure d'envie de tout envoyer ballader quand je m'aperçois tous les jours que l'on critique les américains sur leurs positions, indéfendables soit dit en passant, et que Notre bonne vieille France fais du Néocolonialisme en Polynésie, Cote D'ivoire... Dois-je rappeller qu'au lendemain de l'élection légitime d'Oscar Temaru, le pouvoir central, n'a pas bougé d'un pouce en sa faveur, mieux, le Haut commissaire n'a fait que leur mettre des batons dans les roues, et appuyer les revendications de mauvais perdants de la nouvelle et déconcertée opposition Tahoera.
A ton déjà vu tel système de copinage si bien défendu, que ces injustices soient passer presque comme des lettre à la poste, tant les médias ont, une fois de plus, été l'instrument du pouvoir....
Alea Jacta est disait César, Maeva i te Nunaa Maohi, maeva i te Taui... Et non, l'indépendance ne me renverra pas "chez moi", car je n'en ai pas d'autre. C'est une annerie de croire cela, les polynésiens ne sont pas aussi laches que leur lointains cousins métropolitains...
A bon entendeur!
Nous sommes en pleines périodes d'elections à quelques jours de l'echéance et voilà ce que l'on peut lire dans l'actualité politique:
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| Politique : 08/02/2005 à 11:30
Nicolas Sarkozy: "Gaston Flosse est de taille à répondre et à gagner aux îles du Vent" (Tahitipresse) - Le président de l'UMP (Union pour un mouvement populaire) Nicolas Sarkozy a estimé dans un interview publiée mardi dans le quotidien "Les Nouvelles de Tahiti" que Gaston Flosse, président du Tahoeraa huiraatira (autonomiste) et sénateur UMP, était "de taille à répondre et à gagner aux îles du Vent". Il annonce également que l'UMP enverra une délégation à Tahiti "au lendemain du succès de Gaston Flosse, le 13 février". |
| Société : 08/02/2005 à 09:40
Brigitte Girardin renforce la situation financière des communes d’outre-mer (Tahitipresse) - Brigitte Girardin a transmis, mardi, à l’ensemble des maires d’Outre-mer une lettre dans laquelle, elle leur annonce "une augmentation d’environ 36 millions d’euros (environ 4,320 milliard Fcfp) de la Dotation globale de fonctionnement (DGF) versée en 2005 aux communes d’Outre-mer, soit une hausse de plus de 7% par rapport à 2004", indique un communiqué du ministère de l’Outre-mer. |
C'est quand même génial, on a au pouvoir central, non seulement des mères nourisses garantes de la sécurité financière de ces pauvres petits polynésiens en proie à la damnation éternelle de la VRAIE autonomie, mais également des "Madames Soleil" qui prévoient l'avenir avec une perspicacité qui j'espère semblera louche si les prédictions sont vérifiées...
Je pleure d'envie de tout envoyer ballader quand je m'aperçois tous les jours que l'on critique les américains sur leurs positions, indéfendables soit dit en passant, et que Notre bonne vieille France fais du Néocolonialisme en Polynésie, Cote D'ivoire... Dois-je rappeller qu'au lendemain de l'élection légitime d'Oscar Temaru, le pouvoir central, n'a pas bougé d'un pouce en sa faveur, mieux, le Haut commissaire n'a fait que leur mettre des batons dans les roues, et appuyer les revendications de mauvais perdants de la nouvelle et déconcertée opposition Tahoera.
A ton déjà vu tel système de copinage si bien défendu, que ces injustices soient passer presque comme des lettre à la poste, tant les médias ont, une fois de plus, été l'instrument du pouvoir....
Alea Jacta est disait César, Maeva i te Nunaa Maohi, maeva i te Taui... Et non, l'indépendance ne me renverra pas "chez moi", car je n'en ai pas d'autre. C'est une annerie de croire cela, les polynésiens ne sont pas aussi laches que leur lointains cousins métropolitains...
A bon entendeur!
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