lundi 21 décembre 2009

Le Curry de poulet Sang et Or à la mode léo

Voici une petite expérience culinaire récente, pas trop mal au niveau gustatif :

Pour 4 personnes
500 grammes de filet de poulet
2 courgettes
2 oignons
8 champignons de Paris
1 poivron rouge et 1 jaune
1 poire
1 clémentine
Huile d'olive
Curry masala
Curcuma
Paprika
Poivre de cayenne
Sel poivre
Chutney de mangue piquant (2 cuillères à soupe)
Sauce huitre (2 cuillères à soupe)
Un jus de citron
10 brins de coriandre
5 brins de menthe


Commencer par émincer les champignons, les courgettes, les poivrons, les oignons, la poire et éplucher la mandarine. Réserver chaque composé à part.
Faite chauffer un fond d'huile d'olive, puis faire blanchir les oignons. Ajouter courgettes, champignons et poivrons jaune, ajouter du poivre. Cuire à faux moyen jusqu'à ce que les courgettes soient fondantes. Ajouter le paprika (2 cuillères à café); le poivre de cayenne (au moins une ccafé). Ajouter le coriandre, laisser mijoter 5-10 minutes
Saler, déposer la moitié des feuilles de menthe sur le tout et réserver au chaud dans un plat en terre cuite par exemple.

Émincer le poulet en tranches de 8-10 mm. Dans un plat assez large, ajouter le chutney, la sauce huitre, le jus de citron, une cuillère à soupe d'huile d'olive et une Csoupe d'eau. Mélanger avec le poulet cru pendant 2 minutes et laisser mariner.

Faire chauffer la poile, verser la marinade et le poulet, et saisir le poulet pour le dorer.
Ajouter le poivron rouge émincé, le curcuma. Laisser mijoter à faux doux pendant 5 minutes.
Ajouter l'émincé de poire et la clémentine, mélanger. Laisser réduire 5-10 minutes. Servir dans un plat en terre cuite.

Déguster chaud, tiède ou froid selon les gouts
Accompagnement : Riz basmati avec feuille de menthe.

L'intérêt du plat est dans les couleurs : Rouges, verts, jaunes. Le palais est tantôt piqué par le curry, tantôt soulagé par le coriandre, la menthe et les fruits.

Mmmhhh...

jeudi 10 décembre 2009

JPK - Mystère et pognon


Avoir absolument
Le Mystère sur le suicide du journaliste Jean-Pascal Couraud, surnommé JPK, qui disparaît sans laisser de traces. Nous y retrouvons un drôle de procureur et les comptes au japon de CHIRAC...
http://video.google.com/videoplay?docid=-10201372209613104&hl=fr#

mercredi 7 octobre 2009

lundi 5 octobre 2009

First day in New-York

Soleil, Liberty Island, Ferry, Ellis island. Then Financial district and back Broadway!

vendredi 7 août 2009

lundi 27 juillet 2009

Tuber melanosporum

Les Truffes Henras

Gastronomie de la truffe du Quercy... Hmmm...

jeudi 23 juillet 2009

mardi 14 juillet 2009

Collaboration AWE - RTVOL

Voici un petit film qui reprend tous les partenariats de l'Association Wallonne de l'élevage, et nous avons l'occasion de développer une part de notre travail au sein du Réseau Technique vétérinaire - Objectif lait, avec les éleveurs pour la prévention des pathologies en ferme.
rtvol-subscribe@upv.be

dimanche 14 juin 2009

vendredi 5 juin 2009

Méditations modernes

On a demandé au Dalaï Lama: "Qu'est ce qui vous surprend le plus
dans l'humanité ?". Il a répondu:

Les hommes ... Parce qu'ils perdent la santé pour accumuler de l'argent,
ensuite ils perdent de l'argent pour retrouver la santé.

Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte
qu'ils finissent pas "non vivre" ni le présent, ni le futur.

Ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir .... Et meurent comme s'ils
n'avaient jamais vécu.

mardi 5 mai 2009

Lettre ouverte à monsieur "Le rouge"



"Toute cette agriculture industrielle aujourd'hui produit de plus en plus de folie"
(D. Cohn-Bendit)

A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes (J. F. Kennedy)
Qu'il est triste notre monde, lorsque même nos symboles de révolution se trompent de cible. Qu'il est feu et sang mon monde fanatisé par les nouvelles idoles d'un paysage audio-visuel triomphant de son archipopularité. J'ai pu entendre beaucoup de nos hommes et philosophes politisés, mais je n'aurais pas cru entendre ces paroles prononcées en des temps si troublés par l'ombre d'un ravage planétaire.
Très cher révolutionnaire moderne, j'ai été très surpris par votre propos au sujet de la menace de pandémie et son lien inéluctable au règne animal industriel. C'est un peu comme si l'on prétendait que le SIDA n'est le fruit que d'union perverse entre un singe sorti de forêts déboisés et des humains en mal de sensations fortes, sous le prétexte que ce virus est issu d'une souche simiesque d'un retroviridae. Afin de voir clair, je suggère que l'on s'arrête quelques instants sur nos dernières frayeurs agroalimentaires contemporaines. Notre monde a d'abord été mis en branle par le spectre aphteux, dont personne ne savait qu'il était parfaitement bénin pour la population, mais extrêmement contagieux pour les animaux, dans une Europe qui avait réussi le pari de l'élimination de cette pathologie. Bilan, chute de la consommation, stigmatisation de la filière, dont le seul choix demeurait un abattage systématique des animaux atteints et en zone de contrôle. Oui mais…
Nous avons alors (re)découvert l'encéphalopathie spongiforme bovine, mieux connue sous le nom de maladie de la vache folle, ou plutôt des vaches folles, folles de faire confiance à l'homme pour nourrir sa propre population avec des aliments à risque. Il s'agit là à mon sens de la seule crise que l'on puisse imputer à l'homme au sens strict, car elle est plus que probablement iatrogène. L'histoire dira si le jeu en valait la chandelle, tant quelques milliers d'humains – dans l'océan indien, les pauvres – ont pu mourir en silence pendant que notre grasse Europe mangeait des chips en regardant la télévision l'abreuvant de danger. Oui mais…
Voilà qu'arrive une nouvelle menace, pandémique celle-ci – pour une fois – et ce coup-ci la garce a choisi d'innocents volatiles pour nous mettre l'industrie pharmaceutique sous la gorge. D'aucun diront même que les virus influenza sont en général d'origine animale, et plus que souvent liés aux palmipèdes sauvages. Mais ces derniers n'ont pas du crier suffisamment fort à notre mère la télévision. On craint, on crie, on enferme et on engrillage. Heureux qui comme Ulysse, a vu cent paysages… Notre ennemi était ciblé : les oiseaux sauvages. Ciel, voici que même la nature se rebelle contre les enfants de la télévision! A l'aide, grand-mère radio envoie nous tes ondes FM rassurantes et lénifiantes!
On pourrait se contenter de répondre à votre serviteur, que des morts ont surgit de cette zoonose. A juste titre, mais peut on considérer qu'il y en ait eu plus que pour une épidémie de grippe hivernale? Oui, mais…
Heureusement, pour donner du crédit à notre raisonnement de masse – media –, arrive l'heure du jugement en 2009 grâce à un autre virus influenza. Une grippe infiniment plus proche de nous puisqu'elle est porcine d'origine! Génial, enfin la nature semble enfin nous respecter à notre vraie place. Et là malheureusement votre serviteur est un peu décontenancé par la portée de certains propos, peut-être mitraillés sous la pression d'une médiatisation omniprésente de nos hommes média – oh, pardon – poli-tiques. Un meneur d'homme de la première heure nous parle immédiatement d'agriculture sacrifiée sur l'autel de la productivité, dans un rituel capitalistique destiné à polluer notre destiné d'homme-dieu. Oui mais…
Ce serait alors oublier toutes les zoonoses sauvages que l'homme ne contracte plus, tant son contact avec la nature créatrice s'est réduit à néant. Brucellose porcine, Rage de la chauve –souris et du renard, Tuberculose bovine etc… Certains ont été contraint de se trouver refoulés aux frontières de l'Europe grâce aux bons services des vétérinaires de nos pays, d'autres ont simplement trouvé temporairement un maitre dans la vaccination des animaux sauvages, enfin les premiers sont plus souvent tirés à vue que caressés. Dans cette histoire, le porc n'est rien de plus qu'un instrument de la nature que les virus ont trouvé pour traverser le filtre des défenses de l'Homme. Cette grippe n'a de porcin que le procès qu'on veut bien lui faire. Elle n'est d'ailleurs pas plus porcine qu'elle ne fut espagnole durant la première guerre mondiale. Les grippes ayant pour origine systématique un hôte intermédiaire animal, c'est un peu comme si je l'appelais la grippe agricole, ou encore la grippe Homo sapiens sapiens
Que reste-t-il finalement de sapiens à notre espèce? Les préhistoriens nous appelleront bientôt Homo sapiens amissae. La télévision est devenue le creuset de notre ignorance en acier trempé, où même les plus courageux meneurs emmènent leurs fidèles droit dans le mur. La vraie crise n'est pas économique, c'est une crise de l'appauvrissement culturel du monde. La vraie pauvreté est dans l'instruction qui disparait de notre réalité pour laisser place à un marasme télévisuel se délectant de ses propres boucles. On amène le débat délicatement sous la forme d'un combat entre les producteurs de nourriture d'une part et les consommateurs de l'autre. Le pot de fer, contre le pot de terre. Quand expliquerez-vous à vos partisans – dont moi – que la grande distribution ne peut imposer ses cadences émargées à la production primaire que parce qu'elle peut mesurer son chiffre au consommateur près. Que connait l'homme moderne de la production de denrée alimentaire d'origine animale? Combien de gens aujourd'hui savent encore que le lait dans les briques UHT provient de vaches élevées pas loin de chez lui, mais surtout hors de sa vue?
En tirant à vue sur une agriculture soi-disant irresponsable alors qu'elle s'impose les règles les plus drastiques de la planète, vous stigmatisez une population représentant moins de 5% des forces vives de la planète, mais qui la nourrit à 70%. L'écologie est une science complexe, de l'adéquation de l'homme dans son environnement, mais capable de survivre quand même…
Non, la grippe H1N1 n'est pas le fait d'une agriculture intensive, elle est juste l'expression d'un monde dont nous ne sommes, ni n'avons été le centre. C'est l'expression d'un milieu pour lequel l'homme n'est qu'un des vastes composants, au travers duquel il tente de survivre, faisant face avec ses armes d'hier – le feu –, d'aujourd'hui – le vaccin – et de demain…
Non, ce n'est pas 1% de la population qui est responsable de nos faiblesses à contrôler cet environnement au sujet duquel nous avons la facilité de croire que nous puissions être les garants de sa survie. Un fou irait même jusqu'à dire que le monde viral n'est que l'expression de cet environnement saoulé de notre religion cathodique, tenant de nous rayer de la carte pour nous apprendre que l'écologie commence par comprendre que nous ne sommes que poussière dans l'évolution.
Dommage, car l'humanité a besoin de ses charismatiques, ils sont les seuls guident qu'elle s'autorise en dehors du 20 heures. Ecologie rime avec économie, mais le penseur n'imaginait pas qu'il pu s'agir d'économie de réflexion.

Des sottises faites par des gens habiles; des extravagances faites par des gens d'esprit; des crimes faits par d'honnête gens… Voilà les révolutions (L. de Bonald)

Un acarus

lundi 4 mai 2009

Maladies de riches - Maladies de pauvres....

Il est patent que notre monde roule à deux vitesses, particulièrement lorsque l'on suit l'activité épidémiologique de la planète. Depuis une semaine on subit un battage médiatique fantastique autour de la grippe A (mexicaine ou porcine); à juste titre, probablement, compte tenu du risque pandémique. Il n'empêche que pendant ce temps là, l'Afrique fait face à une épidémie de méningite infectieuse, et Médecins sans frontière a lancé une campagne de vaccination à très grande échelle.
http://www.msf-azg.be/fr/main-menu/actualites/infos/news-detail/table/1314.html



Déjà plusieurs de milliers de morts en Afrique de méningite, quelques dizaines pour le Nord grippal... Malheureux paradoxe, même la santé appartient aux médias. Ouvrir les yeux, car deux aveugles qui se guident finissent souvent dans le fossé. Comme dirait certains humoristes, le meilleur moyen de se protéger de la grippe A n'est-il pas simplement d'éteindre sa télévision et sa radio?
http://www.actu24.be/article/monde/grippe_porcine_le_bilan_salourdit_au_mexique/286471.aspx





lundi 27 avril 2009

Situation Economique wallonne

A l’heure d’internet, il est plus facile de savoir ce qui se passe dans ce beau pays, en fait tout le monde sait que nos politiciens dépensent sans compter pour le bien du pays et la publicité du tourisme wallon aux Etats-Unis… Je suis encore plus fort aise d’apprendre à la radio que des « commissions de travail » refléchissent à la bonne manière de s’assurer que les élus siègent au parlement régional, ou même d’augmenter le nombre d’élus. J’ai été également tout à fait enchanté qu’une intercommunale ait, dans un élan de générosité magnifique, promis de verser près d’un million d’euros pour une équipe de football en faillite. Pendant ce temps là, les leviers économiques des agriculteurs sautent les uns après les autres, et à l’heure actuelle, même des éleveurs laitiers en pleine capacité de production (100.000 cellules/ml de moyenne) affiliés à des laiteries allemandes qui ont étalé la hausse et la baisse du prix du lait, traient à perte. Je pense qu’il est temps de la reconnaître, pour nos éleveurs, je vois au moins deux portes de sorties, la politique ou le football !

Il est temps de sa mobiliser et de sensibiliser le grand public aux conditions de la productions des aliments primaires de la nourriture des être humains, non affiliés à un parti politique ou joueur de foot professionnel. Ce n’est pas normal d’être au courant de toutes les clowneries de la Wallonie et que le public ignore que c’est l’aube d’une catastrophe.



Un Acarus.

mardi 14 avril 2009

Zébus Overseas Board

Voici une belle initiative de micro-crédit originale : Euros contre Zébu pour Paysan malgache. Mon ami le Dr. Perrin s'occupe de l'attribution des prêts et de la santé des animaux. Il organise également l'activité pédagogique de l'association autour de l'élevage et dans la ferme pédagogique de l'association.


lundi 2 février 2009

Aculturation? Echanges culturels? Colonisation?

Rencontre insolite dans mon jardin d'hiver, alerté par un haka bruyant, j'arrive en surprenant les deux compères se toisant, chacun campant sur ses exceptions culturelles...

Voici celle qui réconcilie les deux mondes...
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